A la différence de l’huile, l’aquarelle se pratique mal en nature, surtout lorsqu’il faut encrer. C’est une technique de moine bénédictin à pratiquer dans un silence religieux ou en écoutant des livres audios, mais, dans tous les cas, majoritairement en atelier.

Elle permet une myriade de détails, de subtiles variations de couleurs et un travail sur la composition, trop souvent éreintant, mais une fois achevée…